Photographe et artiste numérique, autodidacte et passionné, j'utilise le support photographique comme une palette de sensations. J'y puise les matériaux qui me permettent de recréer mes "mondes intérieurs", qu'ils soient humoristiques ou oniriques.
ANNONCES MEMBRE
Ghost #37
Pierre Duquoc - 2022
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #38
Pierre Duquoc - 2022
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #33
Pierre Duquoc - 2021
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #13
pierre duquoc - 2019
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #2
pierre duquoc - 2019
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #20
pierre duquoc - 2020
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #11
pierre duquoc - 2019
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 2/20.
Ghost #27
pierre duquoc - 2020
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #35
Pierre Duquoc - 2021
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #15
pierre duquoc - 2019
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #29
pierre duquoc - 2020
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages photo limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #34
Pierre Duquoc - 2021
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #36
Pierre Duquoc - 2022
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #18
pierre duquoc - 2019
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #9
pierre duquoc - 2019
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #28
pierre duquoc - 2020
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.
Ghost #8
pierre duquoc - 2019
300€
Pour un photographe il est souvent paradoxal d’accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues. Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions. Pas les plus douloureuses, telles que la perte d’un proche, mais plutôt celles que j’appellerai les petites disparitions du quotidien. Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs. J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là. Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire. A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit. Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien. J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets. Tirages limités à 20 exemplaires, tous formats et supports confondus. Tirage argentique lambda, 1/20.