Bercé, influencé par l’ambiance artistique familiale, {nikonografik} montre un intérêt précoce pour le support imagé. A l’adolescence, vient le temps de la découverte du hip hop et des formes artistiques liées au mouvement : le graff, le tag et les mots qui créent du sens. Du graff reste son goût pour la composition et la couleur. De la musique naît l’amour des mots. La poésie s’en mêle : “Encore des mots, toujours des mots…” {nikonografik} multiplie les expérimentations artistiques : dessin, tag, graff, peinture, linogravure, numérique, sérigraphie, collage… Avec ses portraits, l’artiste n’en fait qu’à ses têtes : spontanéité, couleurs vives, regards francs, regards croisés… Un travail sur ce qui est une de ses obsessions depuis quelques temps : la tête. La tête, c’est à la fois le dehors/le dedans, le visible/l’invisible, l’ombre/la lumière… Il y a matière à voir, matière à lire, car les mots sont bien présents, quasi indispensables et indissociables de son travail. On regarde, on se laisse regarder… Une forme de prise de tête mise en forme de manière poétique et graphique. Il traite ses portraits en ajoutant des couches, en retirant de la matière, en griffant, en écrivant, en barrant, en hachurant… comme pour donner vie aux “vie-sages” (ou pas), comme pour évoquer le vécu. On lit dans les lignes de vie, dans les lignes de… l’humain. Une technique intrinsèquement liée à la démarche qui nous révèle les pensées d’un humaniste.

Bercé, influencé par l’ambiance artistique familiale, {nikonografik} montre un intérêt précoce pour le support imagé. A l’adolescence, vient le temps de la découverte du hip hop et des formes artistiques liées au mouvement : le graff, le tag et les mots qui créent du sens. Du graff reste son goût pour la composition et la couleur. De la musique naît l’amour des mots. La poésie s’en mêle : “Encore des mots, toujours des mots…” {nikonografik} multiplie les expérimentations artistiques : dessin, tag, graff, peinture, linogravure, numérique, sérigraphie, collage… Avec ses portraits, l’artiste n’en fait qu’à ses têtes : spontanéité, couleurs vives, regards francs, regards croisés… Un travail sur ce qui est une de ses obsessions depuis quelques temps : la tête. La tête, c’est à la fois le dehors/le dedans, le visible/l’invisible, l’ombre/la lumière… Il y a matière à voir, matière à lire, car les mots sont bien présents, quasi indispensables et indissociables de son travail. On regarde, on se laisse regarder… Une forme de prise de tête mise en forme de manière poétique et graphique. Il traite ses portraits en ajoutant des couches, en retirant de la matière, en griffant, en écrivant, en barrant, en hachurant… comme pour donner vie aux “vie-sages” (ou pas), comme pour évoquer le vécu. On lit dans les lignes de vie, dans les lignes de… l’humain. Une technique intrinsèquement liée à la démarche qui nous révèle les pensées d’un humaniste.